jeudi 27 décembre 2007

A relire les jours de deprime

Bien sûr, il ne faut pas prendre ce que disent les joueurs pour argent comptant.
Bien sûr, les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.
Mais depuis que Lyon a commencé à recruter Brésilien, (non, je ne parle pas de Constantino que je n'ai pas connu), force est de constater que les choses vont plutôt mieux... respect pour le club et les supporters, état d'esprit irréprochable... je crains qu'un jour on regrette de ne pas avoir élevé une statue à Juninho du temps de sa carrière à Lyon.
Alors qu'on se demande ce que va devenir Fred (faudra qu'on m'explique un jour, on y reviendra plus tard...), voici que Cris se rappelle à notre bon souvenir avec une déclaration dégoulinante de sucre, comme une patisserie lusophone (oui, les gâteaux parlent !) et exotique, un genre de rab de dessert en cette période de voeux à l'eau de rose parfumée à la fleur d'oranger...
lu dans l'Equipe, enfin sur leur site, enfin, je ne sais plus :

"Je vis une très belle histoire d’amour avec votre pays. Dès mon premier match, il y a quatre ans, contre Lille, quand j’ai vu l’attitude des supporters, j’ai eu le coup de foudre. Ma femme adore la ville,moi aussi; on a acheté une maison là-bas. J’ai parlé avec le président Aulas, car j’aimerais finir ma carrière à Lyon. Je lui ai dit : "Président ! Si tu veux que je reste, je reste !" On va essayer de prolonger mon contrat (qui s’achève en 2011) pour que je finisse ma carrière à l’OL vers trente-cinq, trente-six ans. J'ai envie d’avoir une fin à la Sonny Anderson », projette celui qui a refusé des propositions de grands clubs italiens. « C’est très difficile de changer d’équipe, d’aller dans un autre pays, de jouer avec d’autres coéquipiers. L’équilibre est fragile. Prenez l’exemple de Tiago ! Il était excellent à Lyon, mais aujourd’hui, à la Juventus, il ne joue plus. Je pense avoir pris une très bonne décision en refusant d’aller au Milan ou à la Juventus. De toute façon, mon club, c’est Lyon et j’espère bien que ce sera le dernier !"
Merci Gone !

Aucun commentaire: